Bâtiment Espagne, Palais du Musique, Marché de Lagazpi, Grand Maison des Vargas, etc... la plus part de ces bâtiments ne comptent pas avec une idée solide de réhabilitation á futur.
Le célèbre architecte Carlos Rubio Carvajal parie sur les appliquer “bonne architecture” et il dit que: “Il faudrait casser les tabous du logement d’aujourd’hui, très conventionnels et conservatrices”.
Beaucoup des bâtiments emblématiques á Madrid, qui son actuellement sans utilisation, pas seulement traversent un évident mauvaise état de conservation sinon qu’en plus partagent une caractéristique commune: le désintérêt par la possibilité d’une reconversion en logements. La réalité, c’est que beaucoup de ces immeubles n’ont même pas un plan réel de réhabilitation, mas ceux qui effectivement sont “en processus” ne voient pas l’usage résidentiel comme une possibilité.
Comme échantillon, nous allons prendre six parmi ces bâtiments emblématiques de la capitale espagnole qui ont tombé dans l’oubli, pour illustrer la “amnésie résidentielle” de ses propriétaires, qui ne leur permettre pas de voir qu’y on pourra aussi vivre. Palais de la Musique, Grand Maison des Vargas, Marche Legazpi, Bâtiment en Chamberí et le Centre d’Alzheimer “La Latina”.
Palacio de la Música (Palais de la Musique)
Cette construction de 6.630 mètres carres est considéré “Bien d’Intérêt Cultural” et appartient a la Fondation Spéciale Boîte Madrid depuis 2008. Jusqu’á ce moment, et par son emplacement privilégiée á la Grande Voie Madrilène, son utilisation était fondamentalement culturel et y avait des cygnes.
La Mairie de Madrid a autorisé le Plan de Réhabilitation et les œuvres sont finies. La société Mango a fait connaître son intérêt par l’immeuble et n’est pas prévu, évidement, qu’il soit destine á appartements. Il existe une pétition sur la plateforme Change.org qui a arrivé les 50.000 signatures contre l’ouverture d’un magasin des vêtements.
Edificio España (Bâtiment Espagne)
Ce bâtiment emblème du Madrid a été inauguré en 1953, en se transformant en symbole de l’identité d’un pays moderne. Logements, zones commerciales et le célèbre Hôtel Plaza accompagnent une grande variété d’espaces qui donnaient sens á une impressionnante architecture de 25 étages. Le Project de réhabilitation commence en 2007 mais tout a resté stagné jusqu’á 2014, lorsqu’on a annoncé la vente de l’immeuble, de 76.000 mètres carres, le magnat chinois Wang Jianlin. Une autre fois on laisse a côté la reconversion en logements parmi les possibilités que l’entrepreneur peut donner pour le bâtiment, ce qui est vraiment surprenant puis le magnat asiatique a 57 hôtels cinq étoiles partout dans le monde.
Palacete de los Vargas (Grand Maison des Vargas)
Cette construction qui appartient á la Mairie, se trouve sans utilisation depuis 2008. Auparavant a été reformé avec argent publique pour donner lieu à l’Institut Municipal du Sport. Attire l’attention son mauvais état qu’a fait qu’il soit déclaré en risque d’effondrement.
Mercado de Legazpi (Marché de Legazpi)
Avec nombreux projets de réhabilitation infructueux, l’ancienne Marché des Fruits et Légumes de Legazpi est en attente de que l’un d’entre eux finisse avec succès.
L’idée de le transformer en siège d’Urbanisme ou la possibilité de le convertir en un échangeur de transports n’ont pas donné des fruits. Il est 24.000 mètres disponibles dans lesquelles ne semble pas avoir lieu pour logements.
Bâtiment en Chamberí
Dans les années 20 on a destiné le bâtiment á la Mairie de la ville, mais aujourd’hui la construction établie dans la Rue Alberto Aguilera est vide. Ses 2.700 mètres carrés pourraient être destinés á solutions de logement, mais l’idée c’est qu’auberge la Maison Portugal. Jusque le Gouvernement municipal décidera une date, l’immeuble continuera occupé par une petite base du Samur.
Centre d’Alzheimer “La Latina”
Cet immeuble continue sans être étrenné, néanmoins ses œuvres de construction ont été finies en 2011. Il est abandonné dés principes 2012 et les projets d’investissement continuent stagnés. C’est surprenant qu’un projet si récent et moderne soit tombé dans l’oubli en si peu du temps. Dans ce cas-ci, même si sa fonction ne serait pas le logement, c’est un bâtiment qui par sa configuration pourrait ressembler á cet effet.
« Il faut casser les tabous », dit Carlos Rubio Carvajal.
Ces sont seulement six exemples d’édifications historiques á la capitale sans office ni bénéfice dans ce moment malgré ses bons emplacements et potentiel de tout type, soit comme résidence ou pas. Et ce qu’il s’agit d’immeubles auxquels l’architecture actuelle peut leurs doter de n’importe quel vie, comme indique le célèbre architecte Carlos Rubio Carvajal, du Studio Rubio & Álvarez-Sala. « La bonne architecture est capable de revivre et reconvertir n’importe quel bâtiment », souligne, au même temps que reconnaît que « le logement a eu vraiment peu relevance dans ce type d’immeubles ».
En pensant á ce type de bâtiments emblématiques en désuétude et sa possible usage résidentiel, le renommé architecte croit que « avec imagination et talent on peut faire projets très intéressantes sur ces bâtiments malgré la complexité constructive qu’impliquent » et dont succès, commercial et architectonique, serait assuré.
Rubio Carvajal explique qu’existe aussi une demande qui est attiré par vivre dans lieux moins conventionnels, que n’a rien á voir avec les nouveau PAU de Madrid. « Dans ces bâtiments emblématiques, peut être qu’on devrait faire les choses avec des espaces fluides et limpides. On devrait casser les tabous du logement qu’aujourd’hui sont très conventionnels, très conservateurs », affirme, en faisant allusion aux grandes villes d’U.S.A, comme New York, où le gens habite dans espaces pas conventionnels, mais très attractifs.
Source:
El Mundo

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